A chaque fois qu’ils ont un événement heureux (ou malheureux), les intéressés prennent leurs aises sans penser à autrui. Passe qu’ils débordent sur les trottoirs adjacents, ils vont encore plus loin en occupant toute la largueur de la chaussée, en y installant une tente, des chaises et des tables, et même un tréteau pour l’orchestre, appelé à se produire le …
Gabegie, quand tu nous tiens…
